Contribuez à la neutralité carbone en finançant des projets agricoles français et engagés, alliant soutien aux agriculteurs et co-bénéfices écologiques.
Parler à un expert HorizomFace aux aléas climatiques, à la pression des marchés et aux attentes sociétales, l’ultra-spécialisation agricole montre ses limites. La diversification, notamment via certaines cultures non alimentaires comme le bambou, offre une opportunité de repenser l’usage des terres et de renforcer la résilience des agriculteurs.
· Aléas climatiques → le bambou est peu sensible au gel tardif, excès d’eau, grêle, maladies
· Dégradation des sols et du cycle de l’eau → notre modèle agroécologique restaure les sols et le cycle de l’eau
· Érosion de la biodiversité ⇒ la culture du bambou ne demande aucun produits phytosanitaires
· Prix de vente trop bas → 130 €/tMS, marché de la biomasse en croissance continue
· Flambée des charges → le bambou nécessite peu d'intrants, aucun phytosanitaire
· Concurrence étrangère → la biomasse ne s’importe pas, et est valorisée localement
· Marges faibles, surinvestissement → pas d'équipement agricole coûteux, 4 500 € de chiffre d'affaire moyen
· Métier peu attractif → revenus annuels stables, peu de temps de travail
· Transmission difficile → valorisation du foncier, actif productif
De plus en plus de voix s'accordent : il est indispensable de développer la biomasse agricole.
La demande augmente, et il devient urgent de décarboner notre économie.
Face au recul de production des forêts, l’agriculture a un rôle clé à jouer dans la transition bas-carbone.